La reproductibilité de l’art et l’ouverture du champ imaginaire (1/5)

La reproductibilité de l’art et l’ouverture du champ imaginaire (1/5)

Conférences

Par Georges Didi-Huberman

Une pensée de l’art jamais ne devrait se reclore sur ses propres résultats. Celle d’André Malraux a commencé, au contact d’une certaine avant-garde artistique et intellectuelle, par ouvrir le champ de l’histoire de l’art à une époque où se conjuguaient chez lui un courage théorique (proche, jusqu’à un certain point, de celui de Walter Benjamin) et un courage politique (proche, jusqu’à un certain point, de celui de Carl Einstein).

La Chaire du Louvre 2013, par Georges Didi-Huberman

L’ Album de l’art à l’époque du « Musée imaginaire »

par Georges Didi-Huberman

Télécharger le document.pdf (438,8Ko)